Arsenal est sur le point de conclure la vente de son arrière latéral Nuno Tavares à la Lazio, mais l’intérêt des Gunners pour ce défenseur ne s’arrête pas là.
Un parcours prometteur mais difficile
Tavares, arrivé à Arsenal en provenance de Benfica en 2021, était considéré comme un talent prometteur après avoir fait ses preuves en tant que remplaçant d’Alejandro Grimaldo. La blessure de Kieran Tierney a contraint Mikel Arteta à lancer le désormais âgé de 21 ans dans le grand bain du football de Premier League.
Bien qu’il ait été une présence dynamique sur le flanc avec un style de jeu offensif, Tavares a connu des moments difficiles, notamment lorsque Mikel Arteta l’a remplacé après seulement 34 minutes lors de l’élimination d’Arsenal en FA Cup face à Nottingham Forest.
Une carrière en prêt à la Lazio
Arteta a ensuite choisi d’envoyer Tavares en prêt pendant deux saisons, dont une année au City Ground de Nottingham, avant qu’il ne rejoigne la Lazio l’été dernier pour un autre prêt temporaire. Après une période réussie dans la capitale italienne, où il a enregistré un nombre d’assists record pour son équipe, la Lazio pourrait rapidement activer une clause d’achat dans son contrat pour un montant compris entre 7 et 8 millions d’euros.
Une vente avec une clause de revente
Arsenal subira une légère perte sur l’investissement de 6,8 millions de livres réalisé il y a quatre ans, mais il existe encore un potentiel de bénéfice. La Lazio serait intéressée par Tavares dans l’espoir de le revendre cet été avec un bénéfice significatif. L’accord entre Arsenal et le club italien prévoirait une clause de revente qui donnerait aux Gunners environ 25% de tout tarif que la Lazio pourrait obtenir.
Une stratégie de transfert élargie
La sortie de Tavares n’est pas la seule source de revenus potentiels pour Arsenal cet été. Afin de financer l’arrivée d’un attaquant tant recherché, les Gunners envisagent de vendre Leandro Trossard au championnat saoudien. Jorginho pourrait également quitter le club, mais son départ ne servirait qu’à libérer de l’espace dans la masse salariale, car il entre dans les dernières semaines de son contrat.